Et oui les amis, j’ai la chance aujourd’hui de ne pouvoir rien faire !
Ce n’était pas le cas pendant de nombreuses années, mon métier de maman ne le permettant pas.
Le mari, les enfants, les autres n’appréciaient guère de me voir en mode détente sur le canapé « tu n’as rien à faire aujourd’hui ? »
Cela fait partie d’une autre époque ou d’une autre génération.
Et puis est arrivé le boulot avec des horaires et du stress.
Qu’en dites vous, les filles, de votre vie d’aujourd’hui ?
Lever au petit matin pour habiller et préparer le p’tit dej des héritiers, conduite à l’école, embouteillages sur le chemin du travail, joies et soucis du gagne pain, retour à la maison, leçons et devoirs, tout le monde au bain, repas à préparer et dîner en famille… ouf ! Pourquoi serions nous fatiguées ??😉
Je reconnais qu’en 2021, nos hommes collaborent de plus en plus à la vie de famille.
J’ai la larme à l’œil lorsque je vois mes fistons prendre en charge le bain ou le changement de couche du dernier né !
C’est la « révolutioooonne »… 😋
Aujourd’hui , c’est repos, sieste, ne rien faire…
C’est vrai qu’avec un bras en sucette, je ne peux pas entreprendre grand-chose !
Mais quel bonheur de pouvoir se nicher dans son canapé fétiche et regarder le plafond en ne pensant à rien.
Certains parleront de méditation, je dirai simplement de survie?
Je reconnais ma chance et je vous la souhaite mes amis(es).
J’écoute le silence, la gentille mouche qui me caresse le nez, le souffle de mon chien, blotti près de moi, le bruissement des feuilles de l’arbre au rythme du vent…
Un peu de musique de temps en temps pour calmer le « ding ding » de mon cœur angoissé par les bruits extérieurs.
Moi, j’appelle ça l’apaisement…
Je rassure les copains/copines qui doivent trouver que je n’en fais pas une !🙃
Mes journées sont très occupées.. je les savoure une à une !
Je pique simplement des petits moments juste pour mon canapé et moi. Une douce complicité 😇
Essayez, et n’ayez aucun regret.. le monde ne s’arrêtera pas de tourner parce que vous êtes en mode « off ».
« Chacun sa vie, chacun son bonheur… »