«l’homme est plus dur que le fer, plus solide que le roc et plus fragile qu’une rose. » Proverbe Turc
Poissons, chats et chiens ont la cote chez nous, en France..
Notre pays est le champion d’Europe concernant le nombre d’animaux de compagnie.
63 millions dont 35 millions de poissons, 11,4 millions de chats, 7,4 millions de chiens, 6,4 millions d’oiseaux et 2,6 millions de petits mammifères !
Un foyer sur deux a son animal et dépense 4,2 milliards pour les entretenir (600€/an pour un chat et 800€ pour un chien)
Le labrador est le chien de race n°1 des français suivi par le Yorkshire et le Caniche..
Après, nous avons les originaux qui préfèrent les cobras, les araignées, les rats ou autres compagnons tout aussi délicieux !
Moi, j’ai mon Voltaire, the best…
Qui n’a pas rêvé de trouver un trésor enfoui au fond de son jardin ou dans les lattes de son grenier ?
Tout est permis… on peut rêver !
Le « City of Cairo », navire britannique a été coulé en 1942 au large de la Namibie avec des centaines de milliers de pièces d’argent à 5 150 m sous les mers. Un record.
Il convoyait plus de 7 000 tonnes de marchandises, et surtout 2 182 coffres remplis de pièces d’argent appartenant au Trésor Britannique, soit environ 50 millions de dollars.
Jusqu’à présent, aucune expédition n’était parvenue à le localiser. Et pour cause, il reposait dans les profondeurs des mer, mais il vient d’être retrouvé par des chercheurs français.
Une très grande partie des 100 tonnes d’argent a été remontée à la surface. Jamais aucune cargaison n’avait été récupérée à une telle profondeur.
A titre de comparaison, le Titanic git au sud de Terre-Neuve à 3 800 m de fond, et déjà, les scientifiques avaient eu beaucoup de mal à localiser l’épave et à récupérer les biens du célèbre paquebot.
Bravo les français…. Mais qui va récupérer les sous ???? l’Etat bien sûr…. Mais personne ne le dit !!
Changement de règlement pour cette célèbre course. Prévue en 2017, les catamarans mesureront 7,32 m de moins qu’en 2013 (de 72 pieds à 48 pieds, soit 14,62 m avec six ou sept marins à bord.)
Réduction du temps de construction, de mise au point, de personnel et donc de frais !
En 2013, le budget était de 126 millions d’euros..
« désormais, pour 7 millions d’euros sur trois ans, il est possible d’avoir un projet ambitieux » se réjouit Franck Cammas, le navigateur qui représentera la France avec Michel Desjoyeaux et Olivier de Kersauson.
« ce sont des sommes que l’on a l’habitude de voir dans la voile française et qui sont accessibles à des entreprises faisant 500 millions de chiffre d’affaires. Avec des retombées nationales et internationales importantes garanties… »
A suivre
Youpi, le soleil revient et les salades aussi..
Aujourd’hui, je vous propose une salade au camembert, délicious !!
Pour 2 personnes, il vous faut
1 camembert de 250 g
100 g de lardons
50 g de roquette
150 g d’un mélange de carottes et de chou blanc râpé
12 tomates cerises
12 framboises (facultatif)
1 pomme
Quelques cerneaux de noix
Quelques croûtons
Vinaigrette à la moutarde et au miel
Coupez le camembert en deux, saupoudrez chaque partie de poivre de Cayenne.
Placez-le au four préchauffé à 180 ° jusqu’à ce qu’il coule.
Préparez un lit de salades (carottes et chou blanc) puis la roquette.
Faites revenir les lardons.
Disposez maintenant les croûtons, les tomates cerises, les cerneaux de noix et les framboises.
Coupez la pomme et disposez la sur la salade. Assaisonnez avec la vinaigrette.
Disposez les lardons et le camembert coulant.
Un régal..
Quand on « prend son pied », c’est que l’on ressent beaucoup de plaisir dans ce que l’on fait.. ça on le sait..
Mais d’où vient cette expression ?
Du XVIIIème siècle avec les corsaires. Lorsqu’ils attaquaient un navire ennemi, ils se partageaient le butin en petits tas d’or de façon équitable en utilisant la longueur d’un pied (33 cm environ), d’où le sens du plaisir partagé.
« prendre son pied tout seul » ne veut rien dire.
Grâce à ce procédé, ils parvenaient à déterminer une part revenant au roi, une autre pour l’armateur et le dernier tiers pour l’équipage. Les marins prenaient alors leur pied en s’emparant de leur précieuse récompense.
Ils le dépensaient ensuite dans les jeux et la prostitution.. d’où la dimension sexuelle que l’on peut prêter à cette expression..
Voilà, vous savez tout, c’était important de vous le dire !
Il sait raconter des histoire et captiver ses lecteurs par la subtilité de ses thèmes, c’est un homme d’idées et de conviction.. Jean d’Ormesson est l’écrivain que nous connaissons tous.. ses yeux bleux, son sourire charmeur, son allure d’aristrocrate, qui n’a pas été séduit par cet homme de lettres ?
Il a publié son premier roman en 1956 et en a écrit une quarantaine.
Aujourd’hui, après Malraux, Gide, Yourcenar et Kundera il rentre de son vivant dans la Bibliothèque de la Pléiade avec quatre titres.
Mais savez vous ce qu’est la Pléiade ? nées en 1931, les Editions de la Pléiade constituent une référence pour les amateurs de livres. Elles éditent les grandes œuvres du patrimoine philosophique et littéraire français et étranger, agrémentées de notes à l’excellence incontestée.
Dotées d’une reliure en chèvre, de papier bible et d’une tranche dorée à l’or fin, elles comptent à ce jour trois best-sellers : les œuvres de Saint Exupery, celles de Marcel Proust et celles de Verlaine.
Actuellement, seuls trois auteurs vivants figurent dans cette Bibliothèque : Jacottet, Kundera et d’Ormesson..
Crise oblige, de nouvelles monnaies parallèles arrivent dans plusieurs villes françaises.
Elles s’appellent Sol-Violette, Mesure ou Pêche et fleurissent un peu partout.
Une trentaine de ces devises citoyennes et solidaires circule en France.
Autant sont en projet, souligne un récent rapport ministériel.
Le gouvernement veut booster ces monnaies, levier de développement pour l’économie locale, et encourager leur croissance.
La loi Economie sociale et solidaire (ESS) de juillet dernier leur a conféré le statut de moyen de paiement !
Si chaque monnaie a ses particularités, le fonctionnement est toujours le même : moyennant une cotisation à une association, on convertit ses euros à parité pour utiliser ces devises auprès de commerçants de proximité volontaires.
Objectif : encourager une consommation responsable, durable et locale et empêcher la spéculation.
A la différence de l’euro, ces monnaies ne s’épargnent pas. Et si on ne les dépense pas,
elles se déprécient de 2 % tous les six mois..
SoNantes à Nantes, l’Eusko dans le Pays Basque, la Gonette à Lyon, la Graine à Montpellier… et à Lille ??
*source Femme Actuelle/S. Tournigand